Au lendemain de la mise en garde par le fils de Mouammar Kadhafi, seif-al Islam ayant évoqué les risques d'un bain de sang, une répression s'est abattue lundi 21 février sur la Lybie, pouvait-on lire dans "Le Monde" du 23 février 2011.
La Fédération internationale des Ligues des droits de l'homme avance un bilan de "300 à 400" morts". L'ambassadeur de Lybie en Inde, démissionnaire, a rapporté mardi 22 février que l'armée de l'air "avait bombardé la population à Tripoli.
Aux nations Unies, en Australie, en Chine, en Malaisie, d'autres représentants diplomatiques lybiens ont rompu les liens avec le régime. Le Conseil de sécurité arabe a annoncé une réunion d'urgence. Mouammar Kadhafi ad émenti avoir fui au Venezuela.