Nicolas Sarkozy a critiqué lundi les professionnels des droits de l'homme, à l'occasion de la réunion de l'UMP trois de ses ex-ministres.
Rama Yade pour sa position "silencieuse" sur Kadhafi.
Rachida Dati, tandis que la France intervient pour aider les populations arabes.
Jean Louis Boorloo, pour ne pas avoir profité de marquer sa proximité avec le Président
Le Président de la République française regrette le retrait de la majorité à l'assemblée de proposer la déchéance de nationalité pour les meurtriers de policiers. Le centre aurait dû selon lui saluer la concession.
En ce qui concerne la droit dure, elle l'a vécue comme une reculade selon lui.
En somme, Nicolas Sarkozy reste amer de ne pas avoir pu imposer cet article qui aurait pu appartenir au FN.
Il faut cependant reconnaître que l'intervention des forces armées internationales est louable et on espère qu'elle permettra d'instaurer la fin d'un régime dictatorial et faire avancer les droits des peuples sur le chemin de l'Etat de droit.